Partie III : Déplacements multiples des rapports humains-animaux



A. Des changements de mode de consommation

Les différentes épidémies d’origine animale par leur importance ont naturellement eu de grandes conséquences sur la vision qu’avait alors la population du rapport à l’animal mais surtout de l’industrie autour de l’alimentation. Outre l’obligation d’éliminer des élevages entiers en cas d’infection, c’est dans ces moments de crise que peuvent être diffusées médiatiquement des images des différents élevages et abattoirs. Des images et un contexte qui peuvent alors avoir une vraie influence sur les modes de vies, et la crise de la vache folle en est un exemple parlant (Lledo, 2001). 

Cette crise en plus d’avoir été sanitaire a aussi été une réelle crise sociale et éthique. Dans un premier temps la maladie de Creutzfeldt-Jakob se transmettait à l’Homme par l’alimentation, la consommation même de viande de bœuf était alors vu comme un danger de la part de la population. Un danger perçu qui trouve aussi ses racines dans le traitement médiatique de l’affaire, un traitement médiatique qui a par la suite était jugé d’excessif par une commission d’enquête du Sénat déposé le 11 mai 2001. Cette dernière montrant la pression que les médias ont pu exercer sur la consommation des ménages de viande bovine, menant à presque une diminution de moitié de la consommation au cours de l’année 2000. Mais cette crise a aussi mené à diverses controverses qui ont elles même questionnées notre rapport à l’animal et plus spécifiquement autour de l’éthique concernant l’élevage. On peut penser à la philosophe Elisabeth de Fontenay qui a publié Sans offenser le genre humain, réflexion sur la cause animale, qui critique le manque d’éthique flagrant que révèle les techniques et campagnes d’abattages massives aux lendemains de la crise de la vache folle, et ce, au profit d’intérêt purement financiers (De Fontenay, 2008). Les mouvement végétariens et végane ont donc alors logiquement gagné en popularité après de telles crises tant ils pouvaient représenter pour certains une solution à ce danger sanitaire. 

Le végétarisme et le véganisme sont de vrais phénomènes sociaux aujourd’hui que l’on ne peut ignorer dans nos sociétés tant leur couverture médiatique a pu augmenter depuis les dernières années. Différentes motivations autres que sanitaire peuvent mener à la « conversion » au végétarisme ou véganisme telles que des convictions purement écologique, éthique ou bien même diététique (Plessz, s. d.). De plus, le végétarisme et le véganisme découlent d’un réel engagement puisqu’il peut mener à une sorte d’exclusion sociale que l’on pourrait qualifier de « végéphobie ». On pourrait alors s’attendre à ce que la population qui manifeste cet engagement sois une population directement concernée par les thématiques autour de l’élevage, la diététique et le rapport à l’animal en général. 

En France une enquête INCA a été réalisée parmi un échantillon de 2 288 adultes en 2014, elle révélait alors que 1,8% d’entre eux déclarait poursuivre un régime végétarien. Une enquête qui manifeste une tendance à la hausse car ce chiffre est plus élevé que les 0,2% de la précédente enquête INCA réalisée en 2006. Malgré cette tendance générale à la hausse ce phénomène est en fait principalement situé dans les classes supérieures urbaines. Les thématiques soulevées par ces mouvements rentrent donc en contradiction par la population même qui les compose. Au niveau de la diététique, ce sont plutôt les classes populaires qui souffrent de l’obésité, les classes supérieures en sont au contraire beaucoup moins exposé. Pour ce qui est de l’élevage et du rapport direct à l’animal, le caractère urbain de la population végétarienne rentre en contradiction avec cette thématique à laquelle elle n’est pas directement confrontée. Il est donc important de nuancer le propos et de rappeler que la formation d’une population végétarienne ou végane n’est pas forcément en réaction directe à une réalité du rapport à l’animal (Giroux et Larue, 2019). Un rapport qui peut tout de même se manifester indirectement, et ce massivement, par l’émergence de maladies d’origine animale. 

 

B. La gestion type d’une crise par les institutions sanitaires : Le Virus Nipah en Malaisie 
 

Le Virus Nipah, issu de la famille des Paramyxovirus a été découvert dès 1999 en Malaisie, tirant son nom du village éponyme où il a été identifié pour la première fois. Il est principalement hébergé par des roussettes, vecteurs particulièrement importants de maladies infectieuses émergentes. Sa dangerosité et son potentiel zoonotique font que l’infection au Virus Nipah doit obligatoirement être déclarée à l’OIE (Organisation pour la Santé Animale) lorsqu’une flambée épidémique apparaît, les principales ayant été recensées dans des élevages intensifs de porcs puis chez l’Homme, dans les deux cas en Malaisie et à Singapour (et quelques-uns dans le sous-continent indien). La contamination se déroule après exposition à l’urine des chauves-souris et des cas avérés de transmission interhumaine au Bangladesh ont été identifiés. Étant donné le fort taux de létalité (50% chez l’Homme) et l’absence de traitement spécifique, les principales mesures de prévention consistent en l’abattage massif des porcs infectés/contacts et une surveillance sérologique des troupeaux les plus exposés. A cela s’ajoutent une interdiction de production porcine et de transporter des porcs à l’intérieur des régions concernées. Toutes ces mesures dites de biosécurité interne, visant à empêcher la propagation du virus à l’intérieur des exploitations sont conjuguées à des actions de biosécurité externe qui empêchent, ou du moins limitent les chances de contact entre chauves-souris et production porcine (Règles de biosécurité : les grands principes, s. d.). A ce jour, aucun vaccin n’a encore été développé mais les vaccins à ARN-messager développés lors de la pandémie à COVID-19 ont ouvert de nouvelles perspectives pour le virus Nipah (Moderna pour développer trois vaccins basés sur ARNm neufs contre le VIH, la grippe, et le virus de Nipah, 2021).

Il a été observé une corrélation positive entre le temps de domestication et le nombre de zoonoses (Morand, Jittapalapong, Suputtamongkol, Abdullah, et al., 2014) lors de diverses études. L’émergence des zoonoses étant principalement liée à l’apparition de l’élevage, il est important de le définir au préalable ; l’élevage consiste à veiller à la reproduction, l’entretien et le développement des troupeaux, on le distingue de la domestication car il y a aussi les bêtes sauvages retenues dans les parcs ou les réserves de chasse. Apparu au 12ème millénaire avant J.-C. au Proche-Orient, l’élevage est au cœur du processus de Néolithisation des communautés humaines. A partir du 18ème siècle, l’augmentation des rendements céréaliers laisse plus de terres pour le cheptel et la progression de l’hygiène réduit la mortalité des animaux mais c’est à partir de la seconde moitié du XXème siècle que l’élevage intensif apparaît. L’industrialisation sur le modèle américain se développe avec comme maîtres mots rationalité et productivité. L’automatisation, les pesticides et l’élevage hors-sol permettent de réaliser de nombreuses économies d’échelles et de répondre à une demande mondiale de plus en plus forte. La France s’associe aux éleveurs à travers les zootechniciens de l’INRA (Institut National de Recherche Agronomique) qui les conseillent et développent de nouvelles races. Cependant, l’élevage intensif connaît de fortes critiques depuis le début. Déjà dans les années 50, des pratiques comme l’empilement de volailles dans des cages superposées sont abandonnées car dangereuses sanitairement et l’élevage des poules en plein-air gagne en popularité dans les années 80. La recherche du gain incite les professionnels à utiliser des hormones et des médicaments (vitamines, psycholeptiques) qui provoquent stress, panique et hystéries chez le bétail et même des farines animales pour les herbivores à l’origine du scandale sanitaire de la « vache folle » (Farines animales - Sénat, s. d.). Le débat devient alors public et des associations comme L214 en France militent activement contre les traitements indignes subis par les animaux dans les élevages. Sous la pression de l’opinion publique, les autorités se saisissent également de ces problématiques avec des règlementations sanitaires et commerciales, l’UE ayant l’une des plus aboutie au monde, sinon la plus stricte et la PAC visant à sortir progressivement d’un modèle productiviste et néfaste pour l’environnement. 

Les pays riches demeurent mieux équipés pour répondre à de telles crises car ils disposent de systèmes de santé capables d’assurer le suivi, l’identification et la notification de maladies infectieuses émergentes. Le problème est qu’ils sont rarement à l’origine de ces nouvelles pandémies : le SIDA ou Ebola sont originaires des forêts d’Afrique Centrale, or les Etats de la zone ne disposent pas de telles infrastructures permettant de surveiller et circonscrire à la base ces menaces. Le programme de l’USAID (Agence des États-Unis pour le développement international) pour la Santé et de l’OMS sont basé sur cette préoccupation, à savoir détecter et prévenir les maladies émergentes dans leurs lieux d’émergence (Health Systems and Innovation, 2019). Les expériences d’épidémies permettent aux populations et aux autorités de développer des programmes spécifiques en la matière, qui visent à rendre les sociétés plus résilientes. Du côté de la prévention, la biologie et l’infectiologie moléculaire permettent de réaliser de réelles avancées dans l’étude des pathogènes. Ainsi les souches circulantes du virus Ébola en Afrique de l’Ouest ont été séquencées et analysées en temps réel (Possible Pandemic: Is MERS the New SARS?, 2013) mais tout cela nécessite des fonds financiers, qui sont débloqués toujours plus rapidement lorsque la situation est grave et/ou qu’elle touche les pays développés. Les scientifiques estiment que plus de 320 000 virus attendent d’être découverts chez les mammifères (soit 60 fois plus que ceux que l’on connaît actuellement) et la caractérisation complète de ceux-ci coûterait 6,3 Milliards de Dollars (Anthony, s. d.), coût négligeable à côté du coût d’une pandémie.  

Si les autorités sanitaires sont régulièrement confrontées à la gestion de ces crises, on peut remarquer que ce sont toujours les populations les plus proches des animaux qui sont les plus aguerries. Il est donc important de prendre en considération leurs connaissances, issues d’une longue histoire de cohabitation avec l’animal. 
 

C. Les croyances, rituels et traditions dans le cadre des dispositifs sanitaires : comment connaissons et percevons-nous l’animal ?

 
Les crises sanitaires nécessitent à ce que l’on connaisse l’animal. En effet, dans le cadre de la surveillance des maladies animales, la spécificité de la population animale en question est accompagnée d’enjeux particuliers, agricoles et vétérinaires notamment, ainsi que des savoirs, des techniques et des acteurs qui sont singuliers. Les dispositifs de surveillance révèlent alors les relations entre humains et animaux : ils sont à la fois « un terrain d’expression et de transformation [des relations entre humain et animal] ». En effet, les dispositifs de biosécurité impliquent une recomposition des continuités et discontinuités entre espèces, des frontières entre le sauvage et le domestique. Le fait de séparer le domestique et le sauvage - qui est d’ailleurs souvent considéré comme source de la maladie zoonotique - et le fait d’avoir une « pensée segmentée et des pratiques de ségrégation de l’espace » en imposant des frontières, réduisant et contrôlant la mobilité, complexifient d’autant plus nos relations avec les animaux. Ceci serait le reflet du pouvoir « souverain » selon Foucault, qui théorise d’ailleurs une sécurité sanitaire utopique, définie par l’ordre et la régulation des mouvements, humains et animaux. 

Tout d’abord, les croyances, pratiques et traditions peuvent avoir un réel rôle au sein des dispositifs sanitaires tout comme être mis en danger par ces derniers. Par ailleurs, ils permettent d’affirmation une certaine manière de percevoir l’animal. 
Il est important de ne pas oublier que la gestion des zoonoses relève un aspect émotionnel très particulier, à l'image de la crise de la grippe aviaire, ayant d’ailleurs engendré de nombreuses conséquences économiques, sociales et culturelles parfois désastreuses. Les différents dispositifs sanitaires mis en place à Hong Kong en 1997 pour contrer la maladie ont donc touché de manière directe et visible la société, compromettant par exemple la tradition d’acheter le poulet vivant au marché et mettant en danger le métier boucher de volaille. Il est désormais interdit de ramener un poulet vivant chez soi les marchands sont séparés du marché par un couloir hygiénique et le rituel de l’abattage change : il s’effectue dans l’arrière-boutique, loin du client. Ce travail difficile est en voie de disparition, menacé par le gouvernement même.  

Témoignage d’une marchande du marché de Tai Po à Hong Kong : « On est tout le temps stressés, c’est dur. Le gouvernement nous menace de nous retirer notre permis. Il y en a qui sont allés manifester contre le gouvernement, certains se sont même jetés à la mer » (entretien, 15 février 2008).  

Ainsi, en appréhendant les dispositifs de surveillance par les manières qu’une société gère en pratique les tensions et incertitudes, la dimension des traditions et des croyances tient une place importante.  
Que ce soit à l’échelle des autorités publiques qu’à celle individuelle. Ce biopouvoir, ou encore cette capacité que l’humain à « faire mourir ou laisser vivre » l’animal (Hinchliffe et Keck, 2012), se trouve être révélateur quant à la perception qu’à l’homme de la Nature et des autres espèces qu’ils côtoient. Ces traditions révèlent d’une ontologie particulière ou d’une croyance.  
Toujours dans le cadre de la crise de la grippe aviaire, les dispositifs sanitaires qui ont été mis en place entre bien dans cette dynamique de biopouvoir qui consiste à laisser vivre ou faire mourir. Par exemple, les abattages massifs caractérisés comme confucéens et analogistes selon l’ontologie descolienne à Hong Kong permettent à la fois de rétablir la santé tout en établissant une frontière entre les espaces et les espèces mais aussi, à travers la fonction sacrificielle des abattages, de donner légitimité à la République populaire dans un contexte de rétrocession (Keck, 2012).  

Il est important de ne pas oublier la place des agriculteurs et vétérinaires au sein des dispositifs sanitaires. En effet, historiquement les réseaux de surveillance épidémiologique en santé animale se sont largement reposés sur les activités des acteurs côtoyant au quotidien les animaux malades, soit les éleveurs et les vétérinaires. C’est donc cette proximité humain-animal, ce regard soucieux et attentif que porte par exemple un éleveur sur son troupeau qui permet de détecter les premiers signes de maladies émergentes. C’est alors le concept d’« éleveurs-sentinelles » qui s’impose. Ces acteurs de terrain, de par leurs pratiques ordinaires de la gestion de la santé des animaux, constituent le premier maillon de la surveillance épidémiologique. C’est ainsi qu’en France la mise en place de réseaux de surveillance de l’antibiorésistance chez les animaux leur accorde une place importante au sein de la surveillance (Fortané et Keck, 2015c). 

Les dispositifs sanitaires quant à eux, peuvent également permettre la création de nouveaux savoirs sur les animaux et modifier les pratiques et traditions d’une société, mais aussi la manière dont elle perçoit ces derniers. En plus de ce rôle premier dans la question de la surveillance épidémiologique, les éleveurs et vétérinaires peuvent aussi être considérés comme médiateurs de cette surveillance. Cette figure du médiateur permet de méditer sur plusieurs problématiques : « Comment les dispositifs de surveillance déplacent-ils la frontière entre le sauvage et le domestique en conduisant à gérer une population sauvage comme un troupeau ?  Comment redéfinissent-ils les liens entre les différents acteurs, humains comme non humains, qui participent de fait à l’activité de surveillance ? » (Fortané et Keck, 2015c). En se penchant sur les pratiques de terrain et formes de travail plutôt que les processus de réforme ou d’élaboration des politiques publiques, on peut observer comment les médiateurs de surveillance ajustent les dispositifs, génèrent de nouvelles formes de savoirs et de connaissance sur les maladies animales : en effet, la surveillance entretient un lien très fort avec les acteurs qui la met en œuvre. Par exemple, ces médiateurs de surveillance ont permis de mettre en lumière la place de la faune sauvage dans le cadre de nouvelles maladies émergentes, comme la maladie vectorielle de Lyme ou Chikungunya . Un autre exemple, ayant pour objet d’étude le dispositif de surveillance de la tuberculose zoonotique des éléphants mis en place au Laos depuis 2013. En se basant sur une enquête ethnologique (Lainé, 2017), il est possible d’apercevoir le rôle des populations locales et la place de leur savoir dans ce dispositif qui s’appuie sur les observations et la collaboration des cornacs - des maîtres, guides et soigneurs d’éléphants - pour informer les vétérinaires de la présence de signes cliniques sur l’animal. Par ailleurs, il rend compte des agencements spécifiques et des transformations induites par les systèmes de surveillance dans le rapport que les humains - ou plutôt les différents acteurs concernés - entretiennent avec les animaux et sa perception avec ces derniers. Cette crise s’est déroulée dans le contexte de la patrimonialisation des pachydermes, qui agit aussi comme moyen de conserver l’espèce. Ce cadre précis crée la réelle possibilité de reconsidérer le rôle des savoirs et savoir-faire locaux pour faire évoluer les savoirs locaux en transformant les pratiques traditionnelles en outil de gestion des crises sanitaires et environnementales. Ainsi, alliant patrimoine biologique et culturel, il serait possible d’intégrer au sein de la question du local des préoccupations plus globales liées à la prévention des risques sanitaires et environnementaux de la tuberculose, le « emerging disease worldview » (King, 2002). Ainsi, penser le local et le global ensemble amènerait alors à reconstruire le paradigme de la conservation. 

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Bibliographie 

Anthony Simon, « A Strategy To Estimate Unknown Viral Diversity in Mammals | mBio »,. Adresse : https://mbio.asm.org/content/4/5/e00598-13

  
De Fontenay Elisabeth, 2008, Sans offenser le genre humain : réflexions sur la cause animale, Albin Michel. 

  
Farines animales - Sénat, Adresse : http://www.senat.fr/dossier-legislatif/ppr00-073.html  

  
Fortané Nicolas et Keck Frédéric, 2015a, « Ce que fait la biosécurité à la surveillance des animaux »,. Revue d’anthropologie des connaissances, vol. Vol. 9, n° 2, n° 2, p. 125‑137. Adresse : https://www.cairn.info/revue-anthropologie-des-connaissances-2015-2-page-125.htm  


Fortané Nicolas et Keck Frédéric, 2015c, « Ce que fait la biosécurité à la surveillance des animaux »,. Revue d’anthropologie des connaissances, vol. Vol. 9, n° 2, n° 2, p. 125‑137. 


Giroux Valéry et Larue Renan, 2019,« Chapitre III », Les véganes, Que sais-je ?, , p. 67‑94. 


Health Systems and Innovation, 2019, Adresse : https://www.usaid.gov/global-health/health-systems-innovation 

  
Hinchliffe Stephen et Keck Frédéric, 2012, « Vivre avec des oiseaux. Frontières de la biosécurité en Angleterre »,. Cahiers d’anthropologie sociale, vol. N° 8, n° 1, p. 77‑88. 

Impact des comorbidités sur les risques de décès et d’hospitalisation chez les cas confirmés de, , p. 52. 


Keck Frédéric, 2016, Préface, Éditions Quæ. Adresse : https://www.cairn.info/emergence-de-maladies-infectieuses--9782759224906-page-7.htm 

  
King Nicholas B., 2002, « Security, Disease, Commerce: Ideologies of Postcolonial Global Health »,. Social Studies of Science, vol. 32, n° 5/6, p. 763‑789. Adresse : http://www.jstor.org/stable/3183054. 


Lainé Nicolas, 2017, « Surveiller les animaux, conserver l’espèce »,. Revue d’anthropologie des connaissances, vol. Vol. 11, N°1, n° 1, p. 23‑44. 


Lledo Pierre-Marie, 2001, Histoire de la vache folle, PUF. 


Moderna pour développer trois vaccins basés sur ARNm neufs contre le VIH, la grippe, et le virus de Nipah, 2021, News-Medical.net. Adresse : https://www.news-medical.net/news/20210113/316/French.aspx 

  
Morand Serge, Jittapalapong Sathaporn, Suputtamongkol Yupin, Abdullah Mohd Tajuddin, et al., 2014, « Infectious Diseases and Their Outbreaks in Asia-Pacific: Biodiversity and Its Regulation Loss Matter »,. PLOS ONE, vol. 9, n° 2, p. e90032. Adresse : https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0090032  

  
Plessz Marie, « Végétarisme et véganisme, autour de la notion de conversion : une présentation de Laurence Ossipow »,. SOLAL. Adresse : https://solal.hypotheses.org/810  

  
Possible Pandemic: Is MERS the New SARS?, 2013, Science. Adresse : https://www.nationalgeographic.com/science/article/130530-mers-cov-virus-nathan-wolfe-pandemic 


Règles de biosécurité : les grands principes, Adresse : https://www.3trois3.com/articles/regles-de-biosecurite-les-grands-principes_804/</div>

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