Photo du film de François Truffaut, L'Enfant sauvage, sorti en 1970
Cette partie n’a pas pour but de faire l'inventaire de récits d’enfants sauvages mais plutôt d’étudier ce que le cas de l’enfant sauvage peut nous apprendre. Il s’agit également de montrer comment les différentes études autour de ces cas ont été menées au cours des époques, des études qui mènent à la création d’un mythe autour de la figure de l’enfant sauvage.
A. L’étude des enfants sauvages : l’étude de l’ensauvagement de l’être humain qui interroge plusieurs disciplines
Commençons par définir ce qu’est un enfant sauvage : c’est « un enfant ayant grandi hors ou en marge de la société humaine » (Enfant sauvage, 2020, 1). Dominique Lestel, philosophe et ethnologue, définit le paradigme de l’enfant sauvage comme tel : « un être humain immature est retiré de son espèce biologique pour vivre avec des membres d’une autre espèce puis (re)devenir un humain « comme les autres » à travers un rapt et une rééducation à la fois formelle et informelle » (Lestel, 2015). L’enfant sauvage est donc celui qui a grandi à la marge. Dans son ouvrage Enfants Sauvages, Approches anthropologiques, écrit en 2OO6, Lucienne Strivay propose une classification de ces enfants en 6 catégories : les enfants seuls, les enfants retrouvés ensemble, les enfants égarés, les enfants séquestrés, les enfants élevés par des animaux et les adultes abandonnés (Strivay, 2006). Les enfants sauvages correspondent donc à un objet d’étude classifié selon les conditions de leur vie sauvage.
Malgré la diversité de ces situations, ces enfants sauvages présentent des caractéristiques bien précises et souvent communes à beaucoup d’entre eux. Ils se nourrissent de viandes ou de poissons crus et de végétaux. Ils sont particulièrement robustes : ils nagent et courent vite et surtout, ils se déplacent à quatre pattes. Au XVIIe siècle, ils ont été qualifiés de chaînon manquant entre l’homme et l’animal (Fontenay, 2012). A partir d’études plus récentes sur des enfants abandonnés au XXe siècle et notamment l’étude du cerveau de Genie, une jeune fille séquestrée découverte en 1970, on observe un retard psychique chez ces enfants. On sait que la majorité ne savaient que quelques mots ou même aucun au moment de leur découverte. Le cerveau étant atrophié, il est avéré que leur perception du monde est différente de la nôtre, par exemple, ils ne perçoivent pas la perspective comme l’explique Franck Ramus, maître de recherche en sciences cognitives (Ramus, 2015).
Malgré la diversité de ces situations, ces enfants sauvages présentent des caractéristiques bien précises et souvent communes à beaucoup d’entre eux. Ils se nourrissent de viandes ou de poissons crus et de végétaux. Ils sont particulièrement robustes : ils nagent et courent vite et surtout, ils se déplacent à quatre pattes. Au XVIIe siècle, ils ont été qualifiés de chaînon manquant entre l’homme et l’animal (Fontenay, 2012). A partir d’études plus récentes sur des enfants abandonnés au XXe siècle et notamment l’étude du cerveau de Genie, une jeune fille séquestrée découverte en 1970, on observe un retard psychique chez ces enfants. On sait que la majorité ne savaient que quelques mots ou même aucun au moment de leur découverte. Le cerveau étant atrophié, il est avéré que leur perception du monde est différente de la nôtre, par exemple, ils ne perçoivent pas la perspective comme l’explique Franck Ramus, maître de recherche en sciences cognitives (Ramus, 2015).
extrait du film de François Truffaut L'Enfant Sauvage : Victor de l'Aveyron, 1970
extrait du film de François Truffaut L'Enfant Sauvage : Victor de l'Aveyron, 1970
L’étude de l’enfant sauvage a été très utilisée notamment en sciences naturelles et en biologie. Le fait que ces enfants n’aient pas appris à parler et aient beaucoup de mal à combler ce retard au moment du retour dans la civilisation pose la question de l’apprentissage du langage. Les scientifiques expliquent ce manque : entre 2 ans et la puberté, l’enfant présente des périodes critiques qui correspondent à des fenêtres d’apprentissage. C'est durant ces périodes que le cerveau est disponible pour enregistrer de nouvelles connaissances, notamment l’apprentissage du langage. Si le cerveau n’est pas stimulé à ce moment, le retard pris sera très difficile à combler, le cerveau étant devenu moins plastique. L’exemple de l’apprentissage du langage illustre les recherches qui ont été faites autour des prédispositions génétiques de l’être humain par rapport à l’influence des facteurs environnementaux. Comparer le cerveau et les connaissances d’un enfant dit normal à celles d’un enfant sauvage permet d’étudier ce qui est déterminé génétiquement dans le développement de l’enfant et ce qui est influencé par son environnement. L’enfant sauvage présente des caractéristiques que l’enfant normal n’a pas, en raison de son environnement, et inversement.
L’étude de l’enfant sauvage intéresse aussi les chercheurs en sciences sociales et en philosophie. En effet, les différences entre l’enfant normal et l’enfant sauvage soulèvent la question de la nature humaine. Où est cette nature humaine si deux êtres si différents dans leur comportement la partagent ? Lucien Malson dans son livre Les Enfants sauvages paru en 1964 dit « C’est une idée désormais conquise que l’homme n'a point de nature humaine mais qu’il a ou plutôt qu’il est une histoire » (Malson, 1964). Bien que cette affirmation puisse être remise en question, l’interrogation soulevée demeure : qu’est-ce qui fait qu’un homme soit un homme au-delà du sens biologique ? Dans son ouvrage, Lucienne Strivay explique qu’au XVIIe siècle, l’association entre l’humain, le langage et la raison est faite : le langage devient ce qui sépare l’homme de l’animal et ce qui garantit sa condition d’homme. L’enfant sauvage remet en cause cette théorie, il demeure un homme au sens biologique même s’il ne sait pas parler. Le langage ne peut donc être posé comme un absolu de la nature humaine. Pour Gineste, psychiatre et historien de la psychiatrie, l’enfant sauvage doit être un « phare d’interrogation » (Gineste, 2015) pour l’homme. Face à lui, toute remise en question des savoirs est possible et c’est ce qui rend l’étude de l’enfant sauvage souvent laborieuse.
L’étude de l’enfant sauvage intéresse aussi les chercheurs en sciences sociales et en philosophie. En effet, les différences entre l’enfant normal et l’enfant sauvage soulèvent la question de la nature humaine. Où est cette nature humaine si deux êtres si différents dans leur comportement la partagent ? Lucien Malson dans son livre Les Enfants sauvages paru en 1964 dit « C’est une idée désormais conquise que l’homme n'a point de nature humaine mais qu’il a ou plutôt qu’il est une histoire » (Malson, 1964). Bien que cette affirmation puisse être remise en question, l’interrogation soulevée demeure : qu’est-ce qui fait qu’un homme soit un homme au-delà du sens biologique ? Dans son ouvrage, Lucienne Strivay explique qu’au XVIIe siècle, l’association entre l’humain, le langage et la raison est faite : le langage devient ce qui sépare l’homme de l’animal et ce qui garantit sa condition d’homme. L’enfant sauvage remet en cause cette théorie, il demeure un homme au sens biologique même s’il ne sait pas parler. Le langage ne peut donc être posé comme un absolu de la nature humaine. Pour Gineste, psychiatre et historien de la psychiatrie, l’enfant sauvage doit être un « phare d’interrogation » (Gineste, 2015) pour l’homme. Face à lui, toute remise en question des savoirs est possible et c’est ce qui rend l’étude de l’enfant sauvage souvent laborieuse.
B. L’étude de l'enfant sauvage, un objet d’étude toujours lacunaire qui invite au « retissage » des informations manquantes
Le principal problème de l’étude de l’enfant sauvage est le manque de sources claires et sûres. De nombreuses sources se contredisent entre elles et certaines ont été détruites. Ce manque de sources mène les scientifiques à poser des à priori qui sont souvent des généralités non vérifiables. Franck Ramus soulève notamment le problème des sources sur la condition des enfants avant l’abandon (Ramus, 2015). La pluralité du phénomène est aussi un problème pour le chercheur : il y a autant de conjectures et d’idées à tirer qu’il y a d'enfants sauvages. En effet, les histoires divergent. Les conclusions de l’histoire de Victor de l’Aveyron, un enfant abandonné puis retrouvé en 1797 à douze ans qui n’apprendra jamais à parler et Kaspar Hauser, un enfant séquestré retrouvé à 16 ans en 1828 et qui apprendra à parler, ne sont évidemment pas les mêmes (Ce que nous apprend l’enfant sauvage - Ép. 4/4 - « Comment tu sais ? » - Une histoire de la transmission des savoirs, s. d.).
Pour Dominique Lestel, le problème de l’étude de l’enfant sauvage résulte également de la limitation de l’étude due à un cloisonnement intellectuel (Lestel, 2015). En effet, pour lui, les chercheurs se cantonnent à étudier un phénomène inédit au travers des disciplines traditionnelles, alors que le phénomène mériterait selon lui de faire naître des idées originales. Dans sa conférence, il pose la question de l’enloupvement d’un enfant, comme réciproque de la domestication d’un animal. Pour lui, inventer des mots est nécessaire dans ce genre de cas inédit. Il soulève également un second problème : le manque de sources a permis à chaque scientifique d’utiliser les cas d’enfants sauvages pour prouver une thèse en particulier. Les informations vérifiées sont peu nombreuses, chacun a pu y piocher pour prouver ce qu’il voulait. Les conclusions des études d’enfants sauvages sont tirées dans la subjectivité du scientifique. Par exemple, face à Victor de l’Aveyron, Itard, un médecin, dit que Victor incarne l’homme à l’état de nature alors que Pinel, un autre médecin, dit que Victor est autiste. Chacun y va de son point de vue, ne trouvant pas d’informations précises et sûres dans les sources et ne pouvant pallier ce manque par l’expérience. En effet, l’étude de l’enfant sauvage ne peut être déclenchée puisqu’elle n’est pas expérimentable. Elle est donc toujours fortuite et cela en renforce la complexité.
Ces problèmes de source et de thèses parfois opposées font de l’étude de l'enfant sauvage une étude lacunaire qui invite au « retissage » du scientifique (Strivay, 2015). Julia Douthwaite parle de l'étude fantasmée du scientifique Serges Aurolles sur Marie Angélique Le Blanc, une enfant sauvage ayant vécu dix ans dans la forêt de 1721 à 1731 (Douthwaite, 2015). Il fausse l’âge de sa disparition et dit qu'elle s’est enfuie en forêt à cinq ans et il en fait une rescapée qui finit sa vie seule. Lucienne Strivay rétablit la vérité : Marie Angélique avait 10 ans lors de sa fuite et elle finit sa vie sous la protection de la reine qui lui verse une pension. Julia Douthwaite explique l’erreur de Serges Auriolles comme une volonté accrue d’attiser la sympathie autour du personnage de Marie Angélique. Son étude étant soumise au manque de sources, elle est lacunaire, et il a rempli les incertitudes en retraçant une histoire particulièrement touchante. Cette subjectivité est renforcée par le prisme occidental qu'adoptent les scientifiques.
Pour Dominique Lestel, le problème de l’étude de l’enfant sauvage résulte également de la limitation de l’étude due à un cloisonnement intellectuel (Lestel, 2015). En effet, pour lui, les chercheurs se cantonnent à étudier un phénomène inédit au travers des disciplines traditionnelles, alors que le phénomène mériterait selon lui de faire naître des idées originales. Dans sa conférence, il pose la question de l’enloupvement d’un enfant, comme réciproque de la domestication d’un animal. Pour lui, inventer des mots est nécessaire dans ce genre de cas inédit. Il soulève également un second problème : le manque de sources a permis à chaque scientifique d’utiliser les cas d’enfants sauvages pour prouver une thèse en particulier. Les informations vérifiées sont peu nombreuses, chacun a pu y piocher pour prouver ce qu’il voulait. Les conclusions des études d’enfants sauvages sont tirées dans la subjectivité du scientifique. Par exemple, face à Victor de l’Aveyron, Itard, un médecin, dit que Victor incarne l’homme à l’état de nature alors que Pinel, un autre médecin, dit que Victor est autiste. Chacun y va de son point de vue, ne trouvant pas d’informations précises et sûres dans les sources et ne pouvant pallier ce manque par l’expérience. En effet, l’étude de l’enfant sauvage ne peut être déclenchée puisqu’elle n’est pas expérimentable. Elle est donc toujours fortuite et cela en renforce la complexité.
Ces problèmes de source et de thèses parfois opposées font de l’étude de l'enfant sauvage une étude lacunaire qui invite au « retissage » du scientifique (Strivay, 2015). Julia Douthwaite parle de l'étude fantasmée du scientifique Serges Aurolles sur Marie Angélique Le Blanc, une enfant sauvage ayant vécu dix ans dans la forêt de 1721 à 1731 (Douthwaite, 2015). Il fausse l’âge de sa disparition et dit qu'elle s’est enfuie en forêt à cinq ans et il en fait une rescapée qui finit sa vie seule. Lucienne Strivay rétablit la vérité : Marie Angélique avait 10 ans lors de sa fuite et elle finit sa vie sous la protection de la reine qui lui verse une pension. Julia Douthwaite explique l’erreur de Serges Auriolles comme une volonté accrue d’attiser la sympathie autour du personnage de Marie Angélique. Son étude étant soumise au manque de sources, elle est lacunaire, et il a rempli les incertitudes en retraçant une histoire particulièrement touchante. Cette subjectivité est renforcée par le prisme occidental qu'adoptent les scientifiques.
C. Entre réalité et fiction autour de la figure de l’enfant sauvage : l’appropriation occidentale de l’étude à l’origine de la création d’un mythe
En Occident, les études d’enfants sauvages vont particulièrement faire parler d’elles, l’enfant sauvage s’installant comme une sorte de figure contraire à l’homme civilisé occidental. Ce postulat d’opposition a beaucoup orienté la recherche en Occident et a mené à une étude encore plus subjective. En effet, les chercheurs vont pendant longtemps poser la figure de l’enfant sauvage comme quelque chose de négatif. D’ailleurs, Lucienne Strivay souligne que les enfants sauvages, qui existent aussi dans d’autres régions du monde, y sont très peu étudiés : il n’y a qu'en Occident qu’il représentent un vrai intérêt de par cette opposition.Le problème de ce prisme occidental est multiple. Pour Dominique Lestel, il remplace le vrai intérêt de l’étude qui serait l’étude des adoptions interspécifiques par des questions toujours anthropocentrées. Les chercheurs ne se sont jamais interrogés sur la possibilité pour une race animale de domestiquer un enfant (Lestel, 2015). De plus, toujours selon Dominique Lestel, l’enfant est toujours considéré comme à sauver. Les scientifiques vont davantage porter leur intérêt au retour à la civilisation de l’individu plutôt qu’à sa vie sauvage. Ils font de ce retour un travail conséquent à accomplir par l’enfant pour s’acclimater aux normes sociales. Dans sa différence, l'enfant sauvage devient un objet de fascination pour tous.
Les études des enfants sauvages ont été le plus souvent rendues publiques au moment de la découverte des enfants. Certains ont également connu la postérité grâce à des films, des œuvres littéraires et même des chansons. Les questions soulevées par ce phénomène exposées plus haut concernent l’ensemble des individus. Il demeure un problème de véracité autour de cette appropriation de l’étude par la société. En effet, les études n’étant pas toujours vérifiables et souvent déceptives, la fiction entraîne nécessairement une réécriture des histoires. On peut parler du film de François Truffaut L’Enfant sauvage, sorti en 1970 et qui retrace l’histoire de Victor de l’Aveyron après sa capture et son éducation par le docteur Itard. On y voit un Victor qui apprend à se tenir bien socialement et à parler alors qu’on sait que le vrai Victor n'a jamais appris à parler. Le poème de Verlaine « La Chanson de Gaspard Hauser » (1873) mis en musique par Georges Moustaki fait parler Kaspar Hauser en en faisant un homme à l’écart des autres et qui appelle à la pitié envers lui. Ces productions artistiques entretiennent un mythe autour d’un phénomène qui, déjà scientifiquement, n’est pas toujours étudié de manière rigoureuse. Une étude difficilement vérifiable et une appropriation de l’objet d’étude dans la culture occidentale a mené à la création d’un mythe autour de cet enfant sauvage.
Les études des enfants sauvages ont été le plus souvent rendues publiques au moment de la découverte des enfants. Certains ont également connu la postérité grâce à des films, des œuvres littéraires et même des chansons. Les questions soulevées par ce phénomène exposées plus haut concernent l’ensemble des individus. Il demeure un problème de véracité autour de cette appropriation de l’étude par la société. En effet, les études n’étant pas toujours vérifiables et souvent déceptives, la fiction entraîne nécessairement une réécriture des histoires. On peut parler du film de François Truffaut L’Enfant sauvage, sorti en 1970 et qui retrace l’histoire de Victor de l’Aveyron après sa capture et son éducation par le docteur Itard. On y voit un Victor qui apprend à se tenir bien socialement et à parler alors qu’on sait que le vrai Victor n'a jamais appris à parler. Le poème de Verlaine « La Chanson de Gaspard Hauser » (1873) mis en musique par Georges Moustaki fait parler Kaspar Hauser en en faisant un homme à l’écart des autres et qui appelle à la pitié envers lui. Ces productions artistiques entretiennent un mythe autour d’un phénomène qui, déjà scientifiquement, n’est pas toujours étudié de manière rigoureuse. Une étude difficilement vérifiable et une appropriation de l’objet d’étude dans la culture occidentale a mené à la création d’un mythe autour de cet enfant sauvage.
Mise en musique par Georges Moustaki du poème « La chanson de Gaspard Hauser », 1873
Bibliographie
Ce que nous apprend l’enfant sauvage - Ép. 4/4 - « Comment tu sais ? » - Une histoire de la transmission des savoirs, Adresse : https://www.franceculture.fr/emissions/le-cours-de-lhistoire/comment-tu-sais-une-histoire-de-la-transmission-des-savoirs-44-ce-que-nous-apprend-lenfant-sauvage [Consulté le : 2 mars 2021].
Douthwaite Julia, 2015, « Savoirs ENS - La jeune fille sauvage mise à jour à quelques avenues pour l’avenir »,. Adresse : https://savoirs.ens.fr/expose.php?id=2355 [Consulté le : 2 mars 2021].
Enfant sauvage, 2020, Wikipédia. Adresse : https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Enfant_sauvage&oldid=175378712 [Consulté le : 2 mars 2021].
Fontenay Elisabeth de, 2012, « Les enfants sauvages »,. Adresse : https://www.franceinter.fr/info/les-enfants-sauvages [Consulté le : 2 mars 2021].
Lestel Dominique, 2015, « Savoirs ENS - Remarques sur le paradigme de l’enfant sauvage aux XXe et XXIe siècles »,. Adresse : https://savoirs.ens.fr/expose.php?id=2345 [Consulté le : 2 mars 2021].
Malson Lucien, 1964, Les Enfants sauvages, France, 10/18.
Ramus Franck, 2015, « Savoirs ENS - Les enfants sauvages à la lumière des sciences cognitives »,. Adresse : https://savoirs.ens.fr/expose.php?id=2331 [Consulté le : 2 mars 2021].
Strivay Lucienne, 2006, Enfants sauvages. Approches anthropologiques, France, Gallimard.
Strivay Lucienne, 2015, « Savoirs ENS - Les reflets de Narcisse. Quels critères pour définir l’homme ? »,. Adresse : https://savoirs.ens.fr/expose.php?id=2329 [Consulté le : 2 mars 2021].
Douthwaite Julia, 2015, « Savoirs ENS - La jeune fille sauvage mise à jour à quelques avenues pour l’avenir »,. Adresse : https://savoirs.ens.fr/expose.php?id=2355 [Consulté le : 2 mars 2021].
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